Que cette brise légère emporte au loin mon malaise quotidien. [PV: Shiro]

17:50

Il avait l'air de faire bon dehors… Enfermé dans sa classe toute la journée, l'elfe commençait à ressentir l'envie de sortir. Sa première journée en tant que professeur ne lui avait pas été de tout repos.
Sa dernière classe avait été une classe aux élèves d'environ 16 ans… Cette dernière classe avait été particulièrement épuisante et avait mît à plat le pauvre professeur.

Il jeta un coup d'œil a la fenêtre entrouverte près de son bureau.
Un petit courant d'air passa, faisant s'envoler l'une des feuilles posée sur son bureau. Il la rattrapa au vol. C'était un de ses petits travaille de rédaction que le professeur avait demander à l'une de ses classe, justement la plus turbulente.
Sur la feuille, un nom était inscrit: Shiro. Isiël se souvenait d'une jeune fille au cheveux blanc argentés, cette jeune fille qui avait l'air agacée et paumée par les bruits de ses autres camarades. Une jeune file qui avait d'ailleurs l'air plutôt… réservée.

Isiël prit le devoir dans une de ses mains, ferma la de fenêtre prit ses affaires et boucla la salle.
Une soudaine envie le poussa à monter les escaliers qui allait a la terrasse du toit du bâtiment.
Il y alla donc.

L'air était bon la bas. Une brise légère de fin d'été soufflait sur le brun lui procurant un sentiment de légèreté.

Il commença a lire la rédaction de Shiro, appréciant le style d'écriture, la légèreté de son histoire et l'orthographe très respectée, il n'y trouva pratiquement de faute et s'en réjouit. Au moins cette classe avait un bon atout. Plongé dans sa lecture il continua d'avancer à la recherche d'un banc mais n'aperçut pas la jeune fille devant lui qu'il heurta.
Projetée au sol sous l'effet de la collision, la jeune fille qui portait l'uniforme du lycée essaya de se relever.
Le professeur de français lui tandis une main avant d'ajouter:



Il prit la main de la jeune fille l'aidant a se relever.

La jeune fille se releva et regarda la personne qui l'avais faite tomber et reconnu son professeur de français.
Elle lâcha aussitôt la main de ce dernier et détourna le regard, mal à l'aise.

"Ça...ça va..."

Elle s'apprêtait à partir lorsqu'une personne l'appela depuis l'autre côté du toit

"Hichimaru-san!"

L'intéressée se tourna en direction de la voix et reconnu sa voisine de table

"Miharu! Justement je te cherchais. Tu as oublié ton carnet sur ta table."

Hichimaru ouvrit son sac et en sortit un petit carnet à dessin qu'elle tendit à son interlocutrice qui s'en saisit

"Merci!"
Dit-elle

"Bah c'est rien. Bon je retourne en bas, a plus!"

"Salut!"

Shiro regarda son ami s'en aller puis elle se tourna vers le professeur sans pour autant sembler le remarquer. Elle le regarda de haut en bas puis son regard s'arrêta sur la copie que ce dernier tenais dans la main. Elle parvint à y lire son nom.
Soudain elle reconnu son professeur

"M. Amae!"

L'elfe leva les yeux de la feuille. Une jeune fille aux cheveux blancs mi-longs se tenait non loin de lui.


Il recula de quelque pas, surpris par la présence de Shiro.


Le professeur de français lui tandis la rédaction.


L'elfe fit quelque pas vers les escaliers menant au bas de l'étage puis s'arrêta.


Attendant quelconque réponse de Shiro, l'elfe s'arrêta.

Shiro regarda le professeur, légèrement surprise par cette demande puis finit par acquiescer
Elle passa devant le professeur

"Suivez-moi!"
dit-elle

Puis elle s'engagea dans l'escalier. C'est alors qu'une question lui vint à l'esprit.

"Dites monsieur, pourquoi me demandez-vous cela à moi?"

Il rougit et bégaya, mal à l'aise…



Il se gratta la joue, le regard au sol, mal à l'aise. Puis tournant le dos à la jeune fille, il partit dans un sens opposé à celui de la forêt.

"Euh bah en faite la forêt est exactement de l'autre côté monsieur... Enfin bon, suivez moi je vais vous montrer!"

Shiro s'engagea dans les escaliers suivit de l'elfe, tout en descendant elle jetta un oeuil à sa rédaction. Son professeur avait mis quelques anotation, pour la pluspart positives. Contente de son résultat elle rengea la feuille dans son sac tout en continuant d'avancer.
Elle s'arrêta à la sortie du bâtiment, regarda l'heure sur sa montre et demanda.

"Dites monsieur, ça gène pas si je passe quelque part avant? Ce sera pas long, et puis c'est sur le chemin."